Figures

<span id="v59176839_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans les orteils en marteau, habituellement le 2e orteil ou parfois un autre orteil, développe une déformation en Z irréversible.</p></div>

Orteil en marteau

Attelle en position fonctionnelle (20° d'extension du poignet, 60° de flexion des articulations métacarpophalangiennes, légère flexion des articulations interphalangiennes)

<span id="v59176647_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Un oignon (hallux valgus) est une déviation latérale du gros orteil sur le premier métatarsien.</p></div>

Oignon (hallux valgus)

<span id="v56124197_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le liquide synovial est aspiré de l'une quelconque des articulations métatarso-phalangiennes. Le pied et les orteils sont plats tandis que le patient est en décubitus et que le genou est fléchi. L'aiguille est introduite le long de la partie dorsale de l'articulation, juste en dedans ou en dehors du tendon du muscle long extenseur du gros orteil.</p></div>

Arthrocentèse de l'articulation métatarso-phalangienne

<span id="v56124131_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le genou et le cul-de-sac sous-quadricipital peuvent être ponctionnés sur le patient en décubitus dorsal, genou en extension. L'aiguille, habituellement de calibre 18-20, peut être insérée par voie antéromédiale sous la moitié ou le tiers du bord supérieur de la rotule. Comme alternative, l'aiguille peut être insérée latéralement, juste sous le bord supérieur de la rotule (montré dans le dessin).</p></div>

Arthrocentèse du genou

<span id="v56124109_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'articulation humérocubitale est ponctionnée alors que le coude est fléchi à 60° et le poignet est en pronation. L'aiguille est introduite par la face externe de l'articulation, entre l'épicondyle, le cubitus et la tête radiale.</p></div>

Arthrocentèse du coude

<span id="v56124175_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Pour l'arthrocentèse interphalangienne proximale, insérer une aiguille de calibre 25 de chaque côté du tendon extenseur par le haut ou avec un angle de 90° par le haut, tout en appliquant une légère traction distale sur l'articulation. </p></div>

Arthrocentèse de l'articulation interphalangienne proximale

<span id="v56124153_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Pour l'arthrocentèse de l'articulation métacarpophalangienne, insérer une aiguille de calibre 25 de chaque côté du tendon extenseur par le haut ou avec un angle de 90° par le haut, tout en appliquant une légère traction sur le doigt.</p></div>

Arthrocentèse de l'articulation métacarpophalangienne

<span id="v56124241_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le liquide synovial est extrait de l'articulation radiocarpienne. Pour identifier le tendon long extenseur du pouce, on demande au patient d'étendre activement le poignet et le pouce. Pour ponctionner l'articulation, le poignet est fléchi et dévié d'environ 20 à 30°. Une traction est appliquée à la main. L'aiguille est insérée juste à côté du tubercule de Lister, ulnaire par rapport au tendon du long extenseur du pouce.</p></div><span id="v56124242_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p ></p></div>

Arthrocentèse du poignet

<span id="v56124087_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le liquide synovial est extrait de l'articulation tibiotalaire. Le pied du patient repose en légère flexion plantaire. La pénétration de l'aiguille est effectuée juste en avant de la malléole médiale et latéralement par rapport au tendon tibial antérieur.</p></div>

Arthrocentèse de la cheville

<span id="v56194872_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le tendon extenseur est avulsé de l'extrémité proximale de la phalange distale (en haut); parfois le tendon avulse un morceau de l'os phalangien distal (en bas).</p></div>

Doigt en maillet

<span id="v56124219_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'articulation glénohumérale est ponctionnée le patient étant assis, le bras le long du corps et la main sur les genoux. L'aiguille est insérée par l'avant, légèrement en dessous et en dehors de l'apophyse coracoïde et dirigée en arrière vers la cavité glénoïde et médiale par rapport à la tête humérale. Un abord postérieur est également possible.</p></div>

Arthrocentèse de l'épaule

Dans le genou

Attelle du poignet en position neutre

<span id="v56191439_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Un ascenseur dentaire est inséré perpendiculairement à la surface concave en regard de la dent à enlever. Le bord situé vers la racine est maintenu en place comme point d'appui tandis que l'autre bord est tourné vers la dent à enlever.</p></div>

Utilisation d'un ascenseur dentaire

<span id="v56191515_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les becs des pinces dentaires sont insérés le long de la racine de la dent, parallèlement au grand axe.</p></div>

Utilisation de pinces dentaires

<span id="v59415537_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'articulation est formée par le condyle mandibulaire et la cavité glénoïde de l'os temporal; un disque articulaire fibrocartilagineux fonctionne comme un coussin entre les surfaces articulaires.</p></div>

Articulation temporomandibulaire

Section transversale d'une canine

Types de cavités

<span id="v56117147_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > La valvule tricuspide est absente et le ventricule droit est hypoplasique. Une communication auriculaire doit être présente.</p></div><span id="v56117148_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Atrésie tricuspide avec grands vaisseaux normalement reliés

<span id="v56117089_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les veines pulmonaires ne se jettent pas dans l'oreillette gauche; au lieu de cela, le retour veineux pulmonaire pénètre dans la circulation veineuse systémique par différentes connexions. Le flux sanguin systémique ne dépend que du shunt auriculaire droite-gauche.</p></div><span id="v56117090_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Retour veineux pulmonaire anormal total

<span id="v56116850_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le ventricule gauche, l'aorte ascendante, les valvules mitrales et aortiques sont hypoplasiques; une communication interauriculaire et la persistance d'un gros canal artériel sont également présents.</p></div><span id="v56116851_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Hypoplasie du cœur gauche

<span id="v56116683_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le débit sanguin pulmonaire, le volume de toutes les cavités, et, souvent, les résistances vasculaires pulmonaires sont augmentées. Les pressions auriculaires sont des pressions moyennes.</p></div><span id="v56116684_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Communication septale auriculoventriculaire (canal atrio-ventriculaire) (forme complète)

Sutures du crâne (calvariales)

<span id="v56123360_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le strabisme peut impliquer les deux yeux; l'œil gauche est montré ici. La direction de la déviation est désignée par les préfixes eso-, exo-, hyper- et hypo-. Quand la déviation est visible, il est indiqué par les suffixes phorie ou tropie.</p></div>

Déviations oculaires dans le strabisme

<span id="v56116981_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le truncus arteriosus se produit lorsque, pendant le développement fœtal, le tronc primitif ne se divise pas en artère pulmonaire et aorte, avec formation d'un seul gros tronc artériel qui naît au-dessus d'une grande communication interventriculaire.</p></div>

Truncus arteriosus (tronc artériel commun)

<span id="v56117112_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le sang non oxygéné qui retourne vers le cœur droit, pénètre dans l'aorte, provoquant une cyanose sévère.</p></div><span id="v56117113_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le sang oxygéné retournant à l'oreillette gauche pénètre la circulation pulmonaire à nouveau. Le ventricule droit est hypertrophié et le foramen ovale permet un mélange minime. Les pressions auriculaires sont des pressions moyennes.</p></div><span id="v56117114_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Dextro-transposition des grandes artères

<span id="v56117003_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Dans la tétralogie de Fallot, le débit sanguin pulmonaire est diminué, le ventricule droit est hypertrophié et du sang non oxygéné pénètre dans l'aorte.</p></div><span id="v56117004_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Les pressions systoliques dans le ventricule droit, le ventricule gauche et l'aorte sont identiques. Le niveau de désaturation artérielle est lié à la gravité de l'obstruction du tractus de sortie du ventricule droit. Les pressions auriculaires sont des pressions moyennes.</p></div><span id="v56117005_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Tétralogie de Fallot

<span id="v56223211_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans la <b >dysraphie spinale occulte</b> ≥ 1 vertèbres sont anormalement formées et la moelle épinière et les méninges peuvent également être affectées. En cas de <b >spina bifida kystique,</b> le sac hernié peut contenir des méninges (méningocèle), et/ou de la moelle épinière (myélocèle) (myéloméningocèle).</p></div>

Formes de spina bifida

<span id="v56227859_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'enfant est placé comme indiqué. Le genou est plus bas du côté atteint du fait de déplacement postérieur de la hanche dysplasique (flèche).</p></div>

Signe de Galeazzi

<span id="v56248515_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le risque dépend du taux de bilirubine sérique totale. (Adapted from <a rel="noopener nofollow" target="_blank" href="https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9917432/">Bhutani VK, Johnson L, Sivieri EM</a>: Predictive ability of a predischarge hour-specific serum bilirubin for subsequent significant hyperbilirubinemia in healthy term and near-term newborns. <span data-mmanualobjecttype="pubtitle">Pediatrics</span> 103(1):6–14, 1999. doi: 10.1542/peds.103.1.6)</p></div>

Risque d'hyperbilirubinémie chez le nouveau-né

<span id="v56117170_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le débit sanguin pulmonaire et les volumes de l'oreillette gauche et du ventricule gauche sont augmentés. Les pressions auriculaires sont des pressions moyennes. La pression du ventricule droit et la saturation en oxygène (O<sub >2</sub>) sont liées de manière positive à la taille de la communication.</p></div><span id="v56117171_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Communication interventriculaire

<span id="v56116509_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Dans la communication interauriculaire, le débit sanguin pulmonaire et les volumes de l'oreillette droite et du ventricule droit sont augmentés. (NOTE: les pressions intracardiaques restent généralement dans les limites de la normale tout au long de l'enfance.) En cas de gros défaut, les pressions de l'oreillette droite et de l'oreillette gauche sont égales.</p></div><span id="x000156_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Communication interauriculaire

<span id="v56116386_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Saturation cardiaque droite en oxygène (O2) représentative <span class='symbol' >=</span> 75%; saturation cardiaque gauche en oxygène (O2) représentative <span class='symbol' >=</span> 95%. Les pressions auriculaires sont des pressions moyennes.</p></div><span id="v56116388_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire; VP <span class='symbol' >=</span> veines pulmonaires; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit.</p></div>

Circulation normale et pressions cardiaques droite et gauche correspondantes (en mmHg)

<span id="v56212590_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans la méthode de Cobb, deux lignes sont tracées sur une rx de face de la colonne vertébrale, l'une à partir du sommet de la vertèbre supérieure la plus tournée et l'autre à partir du bas de la vertèbre inférieure la plus tournée. L'angle formé par ces lignes est l'angle de Cobb.</p></div>

Angle de Cobb

<span id="v56116899_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Le flux sanguin pulmonaire, les volumes de l'oreillette gauche et du ventricule gauche et le volume de l'aorte ascendante, augmentent.</p></div><span id="v56116900_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AO <span class='symbol' >=</span> aorte; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche;</p></div><span id="v56116901_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > AP <span class='symbol' >=</span> artère pulmonaire.</p></div>

Persistance du canal artériel

<span id="v56115967_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les fréquences relatives sont basées sur une compilation de diverses sources.</p></div>

Types et fréquences relatives des atrésies de l'œsophage et des fistules trachéo-œsophagiennes

Invagination

Principales variantes du ventricule droit à double sortie (DORV)

Types d'hémorragie intracrânienne

Transposition congénitalement corrigée des grandes artères

<span id="v55923258_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'homme développe une infestation due aux vers adultes après ingestion de viande de porc contaminée ou peut développer une cysticercose après ingestion d'œufs (ce qui font d'eux des hôtes intermédiaires).</p></div><div class="list"> <ul data-mmanualobjecttype="List" class="nobulleted"><li class="topic__listitem" ><span id="v55923261_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >1. L'homme ingère de la viande de porc crue ou insuffisamment cuite contenant des cysticerques (les larves).</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923263_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >2. Après l'ingestion, les kystes s'évaginent et s'attachent à l'intestin grêle par leur scolex et deviennent des vers adultes en 2 mois.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923265_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >3. Les ténias adultes produisent des proglottides, qui deviennent gravides; ils se détachent du ténia et migrent vers l'anus.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923267_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >4. Les proglottides libres et/ou les œufs sont éliminés par l'hôte final (humain) avec les selles.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923269_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >5. Les porcs ou les humains s'infestent en ingérant des œufs embryonnés ou des proglottides gravides (p. ex., dans des aliments contaminés par des matières fécales). Une auto-infestation peut survenir chez l'être humain si les proglottides migrent de l'intestin vers l'estomac par anti-péristaltisme.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923271_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >6. Après leur ingestion, les œufs éclosent dans l'intestin et libèrent des oncosphères, qui pénètrent dans la paroi intestinale.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v55923273_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >7. Les oncosphères migrent par la circulation sanguine vers les muscles striés et le cerveau, le foie et d'autres organes, où ils deviennent des cysticerques. Une cysticercose peut se développer.</p></div></li></ul></div>

Cycle de vie de <i >Taenia solium</i>

Cycle de vie de <i>Taenia solium</i>

<span id="v56241625_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le VIH se fixe aux lymphocytes T de l'hôte puis libère l'ARN du VIH et les enzymes dans la cellule hôte. La reverse transcriptase du VIH copie l'ARN viral sous forme d'ADN proviral. L'ADN proviral pénètre dans le noyau de la cellule hôte et l'intégrase du VIH facilite l'intégration de l'ADN proviral dans l'ADN de l'hôte. La cellule hôte produit alors l'ARN du VIH et des protéines du VIH. Les protéines du VIH sont assemblées en virions de VIH et bourgeonnent à la surface cellulaire. La protéase du VIH clive les protéines virales, convertissant le virion immature en un virus infectieux mature.</p></div>

Cycle de vie simplifié du VIH

<span id="v56216531_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les seuls hôtes finaux connus de <i >T. gondii</i> sont les membres de la famille des félidés (les chats domestiques et les autres félins).</p></div><div class="list"> <ul data-mmanualobjecttype="List" class="nobulleted"><li class="topic__listitem" ><span id="v56216535_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >1a. Les oocystes sont rejetés dans les selles des chats. Un grand nombre d'oocystes sont rejetés, mais habituellement uniquement pendant 1–2 semaines. Les oocystes prennent 1–5 jours pour sporuler et devenir infectieux.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216537_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >1b. Les chats se réinfectent par l'ingestion d'oocystes sporulés.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216539_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >2. Le sol, l'eau, les végétaux ou la litière pour chats sont contaminés par les oocystes. Les hôtes intermédiaires présents dans la nature (p. ex., les oiseaux, les rongeurs, le gibier sauvage, les animaux élevés dans le but d'être consommés par l'homme) s'infectent après ingestion de matières infectées.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216541_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >3. Les oocystes se transforment en tachyzoïtes peu de temps après l'ingestion.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216543_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >4. Les tachyzoïtes disséminent dans le corps et forment des kystes dans le système nerveux, l'œil et dans les muscles.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216545_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >5. Les chats s'infectent en consommant des hôtes intermédiaires contenant des kystes tissulaires.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216547_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >6a. L'homme peut s'infecter par l'ingestion de viande insuffisamment cuite contenant des kystes tissulaires.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216549_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >6b. L'homme peut aussi s'infecter, par l'ingestion de nourriture ou d'eau contaminée, par des excréments de chats ou d'autres matériaux contaminés, par les excréments (p. ex., du sol) ou, par contact avec la litière d'un chat.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216551_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >7. L'infection humaine, par transfusion sanguine ou par transplantation d'organe, est assez rare.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216553_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >8. La transmission transplacentaire mère-fœtus est relativement rare.</p></div></li><li class="topic__listitem" ><span id="v56216555_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >9. Chez l'homme, les parasites forment des kystes tissulaires, le plus souvent dans les muscles squelettiques, le myocarde, le cerveau et les yeux; ces kystes peuvent persister pendant toute la durée de vie de l'hôte et peuvent se réactiver si l'hôte devient immunodéprimé.</p></div></li></ul></div>

Cycle de vie de <i >Toxoplasma gondii</i>

Cycle de vie de <i>Toxoplasma gondii</i>

<span id="v27414838_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La taille et la morphologie varient selon l'espèce et la maturité.</p></div>

Structure représentative d'un ténia, sur la base d'un <i >Taenia solium</i>

Structure représentative d'un ténia, sur la base d'un <i>Taenia solium</i>

Temps versus concentration d'une dose unique d'un antibiotique théorique

<span id="v55249812_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les chaînes (<span class='symbol' >α</span>) et (<span class='symbol' >β</span>) du récepteur des lymphocytes T (TCR) se lient à l'antigène (Ag)–complexe majeur d'histocompatibilité (MHC) sur une cellule présentatrice de l'antigène et les CD4 ou CD8 interagissent avec le MHC. Les deux actions stimulent les lymphocytes T (1er signal) par la chaîne accessoire CD3. Cependant, en l'absence de 2e signal (coactivation), le lymphocyte T est anergique ou tolérant.</p></div><span id="v55249813_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le TCR est structurellement homologue au récepteur des lymphocytes B; les chaînes <span class='symbol' >α</span> (alpha) et <span class='symbol' >β</span> (bêta) (ou <span class='symbol' >gamma [γ]</span> et <span class='symbol' >delta [δ]</span>) ont des régions constantes (C) et variables (V). (1) <span class='symbol' >=</span> 1er signal; (2) <span class='symbol' >=</span> 2e signal.</p></div>

Modèle à deux signaux de l'activation des lymphocytes T

<span id="v55565459_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Le récepteur du lymphocyte B comprend une molécule d'immunoglobuline ancrée à la surface de la cellule. CH <span class='symbol' >=</span> région constante de la chaîne lourde (heavy chain); CL <span class='symbol' >=</span> région constante de la chaîne légère (light chain); Fab <span class='symbol' >=</span> fragment fixant l'antigène (fragment antigen binding); Fc <span class='symbol' >=</span> fragment cristallisable Ig = immunoglobuline; L-kappa (κ) ou lambda (λ) = 2 types de chaînes légères; VH <span class='symbol' >=</span> régions variables de la chaîne lourde (heavy chain variable region); VL <span class='symbol' >=</span> régions variables de la chaîne légère (light chain variable region).</p></div>

Récepteur du lymphocyte B

Formes héréditaires autosomales dominantes

<span id="v56114967_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les lignes horizontales représentent les probabilités post-test.</p></div>

Variation du seuil thérapeutique en fonction du risque thérapeutique

Transmission sur le mode autosomique récessif

<span id="v55883258_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans l'arbre généalogique, des symboles pour chaque génération dans la famille sont placés sur une colonne et numérotés en chiffres romains, en commençant par la génération la plus ancienne au sommet et s'achevant avec les plus récentes en bas. Dans chaque génération, les personnes sont numérotées de gauche à droite en chiffres arabes. La fratrie est listée selon l'âge avec le plus âgé à gauche. Ainsi, chaque membre de l'arbre généalogique peut être identifié par 2 numéros (p. ex., II, 4). Au conjoint est également attribué un nombre d'identification.</p></div>

Symboles pour construire l'arbre généalogique d'une famille

<span id="v56214281_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > L'aidant doit placer un bras sous celui du patient, saisir doucement son avant-bras et bloquer le sien fermement sous son aisselle. Ainsi, si le patient est sur le point de tomber, l'aide peut le soutenir au niveau des épaules. Si un patient porte une ceinture, l'aidant saisit la ceinture de sa main libre.</p></div>

Soutien du patient pendant la marche

Courbe caractéristique opérationnelle typique du receveur

Hérédité dominante liée à l'X

<span id="v56115497_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La ligne horizontale représente les probabilités post-test.</p></div>

Représentation des seuils de test et de traitement

<span id="v56115000_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les patients qui ont la maladie sont dans la partie haute de la distribution; les patients qui n'ont pas la maladie sont présentés dans la partie inférieure de distribution. Chez les patients qui présentent la maladie, la région située sous la distribution des résultats situés à droite (au-dessus) du seuil correspond au taux de vrais positifs du test (c'est-à-dire, à sa sensibilité); la région située à la gauche du (en dessous) du seuil correspond au taux de faux négatifs. Chez les patients qui n'ont pas la maladie, la région à la droite du critère de coupure correspond à un taux de faux positifs et la région à gauche correspond au taux de vrais négatifs (c'est-à-dire, à sa spécificité). Dans le cas de 2 distributions qui se recouvrent (p. ex., les patients qui présentent et qui ne présentent pas la maladie), déplacer le seuil modifie la sensibilité et la spécificité, mais dans des directions opposées; modifier le seuil de 1 à 2 diminue le nombre de faux négatifs (augmente la sensibilité) mais augmente également le nombre de faux positifs (diminue la spécificité).</p></div>

Distribution des résultats du test

Hérédité récessive liée à l'X

<span id="v56113906_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Ces tracés EEG montrent des ondes thêta caractéristiques, des fuseaux de sommeil et des complexes K pendant les stades 1 (N1), 2 (N2) et 3 (N3) du sommeil lent.</p></div>

EEG lors des mouvements oculaires non rapides (Nonrapid eye movement, NREM)

La plupart des ruptures partielles de l'aorte se produisent près du ligament artériel

<span id="v28605041_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La pression est appliquée sur le cou dans la direction opposée à l'élévation du laryngoscope. Les flèches indiquent la direction d'élévation du laryngoscope et de la pression antérieure sur le cou.</p></div>

Laryngoscopie bimanuelle

Soins cardiaques d'urgence pour l'adulte

Soins cardiaques pédiatriques d'urgence

<span id="v927357_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >PEP = pression expiratoire positive.</p></div>

L'équilibre entre charge (résistantes, élastiques et ventilation-minute) et la compétence neuromusculaire (la conduite, la transmission et la force musculaire) détermine la capacité à permettre la ventilation alvéolaire

<span id="v926969_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >PEP <span class='symbol' >=</span> pression expiratoire positive de fin d'expiration.</p></div>

Composantes de la pression des voies respiratoires pendant la ventilation mécanique, illustrée par une manœuvre d'occlusion télé-inspiratoire du circuit expiratoire

Artères du cœur

Prise en charge de l'angor instable

Prise en charge des syndromes coronariens aigus

<span id="v27852742_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Il y a une élévation hyperaiguë du segment ST en dérivation I, aVL, V<sub >4</sub>, et V<sub >6</sub> et une dépression réciproque dans les autres dérivations.</p></div>

Infarctus latéral aigu du ventricule gauche (tracé obtenu quelques heures après le début de la maladie)

<span id="v27852754_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les segments ST sont moins élevés; des ondes Q significatives se développent, tandis que les ondes R disparaissent en dérivation I, aVL, V<sub >4</sub>, et V<sub >6</sub>.</p></div>

Infarctus latéral du ventricule gauche (après les 24 premières heures)

<span id="v21366641_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Élévation évidente du point J avec aspect arrondi du segment ST, menant à une inversion de l'onde T dans les dérivations V<sub >1</sub> et V<sub >2</sub>.</p></div>

ECG de Brugada de Type 1

Veines profondes des jambes

Approche de recherche d'une thrombose veineuse profonde suspectée

Formes de cardiomyopathie

<span id="v44227221_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La tachycardie nodale auriculoventriculaire par réentrée est utilisée ici comme un exemple. Deux voies connectent les mêmes points. La voie A a une conduction plus lente et une période réfractaire plus courte. Une voie B conduit normalement et a une période réfractaire plus longue.</p></div><span id="v44227222_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >I. Une impulsion normale arrive en 1 et va vers les voies A et B. La conduction de la voie A est plus lente et rencontre le tissu en 2 déjà dépolarisé et donc réfractaire. Un battement sinusal normal en résulte.</p></div><span id="v44227223_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >II. Une impulsion prématurée rencontre la voie B en période réfractaire et est bloquée, mais elle peut être conduite par la voie A car sa période réfractaire est plus courte. À l'arrivée en 2, l'impulsion avance et n'est pas conduite de façon rétrograde par la voie B qui est en période réfractaire en 3. Il en résulte un battement supra ventriculaire prématuré (extrasystole) avec un allongement de l'intervalle PR.</p></div><span id="v44227224_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >III. Si la conduction sur la voie A est suffisamment lente, une impulsion prématurée peut activer de façon rétrograde la voie B qui est sortie de sa période réfractaire. Lorsque la voie A est à son tour sortie de sa période réfractaire, l'impulsion peut réentrer dans la voie A et continuer à tourner, en envoyant à chaque cycle une impulsion au ventricule (4) et une impulsion rétrograde à l'oreillette (5), produisant une tachycardie par réentrée soutenue.</p></div>

Mécanisme d'une réentrée typique

Bloc de branche droit

<span id="v27888274_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >On décrit les souffles, leurs caractéristiques, intensité et irradiations. Le bruit de fermeture de la valvule pulmonaire est plus intense que celui de la valve aortique. La poussée ventriculaire gauche et le soulèvement ventriculaire droit (flèches grasses) sont identifiés. Un 4e bruit cardiaque (S<sub >4</sub>) et un frémissement systolique (T<sub >S</sub>) sont présents. a <span class='symbol' >=</span> bruit de fermeture aortique; p <span class='symbol' >=</span> bruit de fermeture pulmonaire; S<sub >1 </sub><span class='symbol' >=</span> 1er bruit cardiaque; S<sub >2</sub><span class='symbol' > =</span> 2e bruit cardiaque; 3/6 <span class='symbol' >=</span> degré du souffle crescendo-decrescendo (irradie des deux côtés du cou); 2/6 <span class='symbol' >=</span> degré du souffle apical holosystolique crescendo; 1<span class='symbol' >+ </span><span class='symbol' >=</span> soulèvement précordial modéré dû à l'hypertrophie du ventricule droit (la flèche indique la direction du soulèvement); 2<span class='symbol' >+ </span><span class='symbol' >=</span> poussée modérée du ventricule gauche (la flèche indique la direction de la poussée).</p></div>

Diagramme des signes cliniques chez un patient atteint de rétrécissement aortique et d'insuffisance mitrale

<span id="v937954_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Sur la dérivation DII, après le 2e battement sinusal, l'onde T est déformée par une extrasystole auriculaire. Comme les extrasystoles auriculaires apparaissent relativement tôt au cours du cycle sinusal, le pacemaker du nœud sinusal est retardé et une pause, moins que complètement compensatrice, précède le battement sinusal suivant.</p></div>

Extrasystoles auriculaires

<span id="v939997_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Sauf urgences (p. ex., dans le cas de tamponnade cardiaque), la péricardiocentèse, un procédé potentiellement mortel, doit être effectuée sous contrôle échocardiographique, dans un laboratoire de cathétérisme cardiaque et en présence d'un cardiologue ou d'un chirurgien thoracique si possible. Un équipement de réanimation doit être à portée de la main. Une sédation IV (p. ex., par morphine 0,1 mg/kg ou fentanyl 25 à 50 mcg plus midazolam 3 à 5 mg) est souhaitable. Le patient doit être allongé, avec la tête élevée à 30<span class='symbol' >°</span> de l'horizontale.</p></div><span id="v5930452_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Après asepsie, la peau et les tissus sous-cutanés sont infiltrés avec de la lidocaïne.</p></div><span id="v5930453_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Une aiguille à biseau court de 75 mm de long et de calibre 16 est fixée par un robinet à 3 voies à une seringue de 30 à 50 mL. La ponction est effectuée dans l'angle costoxiphoïdien droit ou gauche ou à l'extrémité de l'appendice xiphoïde, l'aiguille étant dirigée en dedans et en haut, près de la paroi thoracique. On enfonce l'aiguille tout en aspirant régulièrement au niveau de la seringue.</p></div><span id="v5930454_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Une échocardiographie permet de guider l'aiguille à mesure qu'une solution physiologique agitée est injectée avec celle-ci. L'échocardiographie est également de plus en plus utilisée pour identifier le site de ponction optimal et la trajectoire de l'aiguille.</p></div><span id="v5930455_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Une fois en place, l'aiguille doit être clampée près de la peau pour l'empêcher de pénétrer plus profondément qu'il ne faut car elle pourrait ainsi perforer le cœur ou blesser un vaisseau coronaire. Une surveillance ECG est indispensable pour détecter un trouble du rythme secondaire à une perforation myocardique. En règle générale, la pression auriculaire droite et la pression d'occlusion de l'artère pulmonaire (pression capillaire bloquée) sont surveillées.</p></div><span id="v5930456_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Du liquide est retiré jusqu'à ce que la pression intrapéricardique passe en dessous de la pression auriculaire droite, habituellement inférieure à la pression atmosphérique. Si un drainage continu est nécessaire, un cathéter en plastique peut être introduit à travers l'aiguille dans le péricarde et l'aiguille est retirée. Le cathéter peut être retiré lorsque le drainage est inférieur à 25–50 mL/24 heures (habituellement 2–4 jours).</p></div>

Péricardiocentèse

<span id="v939929_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les points J, sauf aVR et V<sub >1</sub>, sont élevés. Les ondes T sont essentiellement normales. Les segments ST montrent une élévation concave vers le haut. Les segments PR, sauf aVR et V<sub >1</sub>, sont déprimés. Les déviations de PR sont souvent absentes dans une dérivation d'un membre (ici, aVL).</p></div>

Péricardite aiguë: ECG stade 1

<span id="v934888_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Il y a une élévation hyperaiguë du segment ST en dérivation I, aVL, V<sub >4</sub>, et V<sub >6</sub> et une dépression réciproque dans les autres dérivations.</p></div>

<span id="v41360059_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Il existe un sus-décalage du segment ST dans les dérivations II, III et aVF et un sous-décalage réciproque dans les autres dérivations.</p></div>

Infarctus du myocarde aigu inféropostérieur (diaphragmatique) (tracé obtenu quelques heures après le début de la douleur)

<span id="v928832_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'onde <i >a</i> est provoquée par la contraction de l'oreillette droite (systole) et est suivie de la descente <i >x</i>, qui est provoquée par la relaxation auriculaire. L'onde <i >c</i>, une interruption de la descente <i >x</i>, est due à la transmission du pouls carotidien; elle est rarement discernable cliniquement. L'onde <i >v</i> est due au remplissage de l'oreillette droite pendant la systole ventriculaire (la valvule tricuspide est fermée). La descente <i >y</i> est liée au remplissage rapide du ventricule droit pendant la diastole ventriculaire avant la contraction de l'oreillette.</p></div>

Ondesveineuses jugulaires normales

<span id="v938053_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >L'espace PR reste constant. Les activités auriculaires sont conduites de façon intermittente et les complexes QRS n'apparaissent pas, en général, suivant un cycle de bloc à la 3e (bloc 3:1) ou 4e (bloc 4:1) onde P.</p></div>

Bloc auriculoventriculaire de type Mobitz type II du 2e degré

<span id="v938338_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La réponse ventriculaire est très rapide (intervalles RR au minimum de 160 msec). Peu de temps après, la fibrillation ventriculaire se développe (bande de tracé ECG continu en DII).</p></div>

Fibrillation auriculaire dans le syndrome de Wolff-Parkinson-White

<span id="v26283176_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les phases du cycle cardiaque sont la systole auriculaire (a), la contraction isométrique (b), l'éjection maximale (c), l'éjection minimale (d), la phase protodiastolique (e), la relaxation isométrique (f), le remplissage rapide (g) et le diastasis, ou le remplissage lent du ventricule gauche (h). À fin d'illustration, les intervalles de temps entre les périodes valvulaires ont été modifiés et le point z a été prolongé.</p></div><span id="x000035_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans le tracé du pouls veineux jugulaire, l'onde A représente la contraction auriculaire en fin de diastole, l'onde C correspond à l'impulsion de l'artère carotide ou au bombement de la valvule tricuspide dans l'oreillette droite au début de la systole, l'onde V correspond à l'augmentation de la pression et du volume lors du remplissage de l'oreillette droite en fin de systole et en diastole précoce, les pentes X et X' représentent le mouvement de la partie inférieure de l'oreillette droite en direction du ventricule avec X' en fin de systole et la descente Y correspondant à l'ouverture de la valvule tricuspide et au remplissage ventriculaire en diastole.</p></div><span id="v26283177_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >AO <span class='symbol' >=</span> ouverture de la valvule aortique; FA <span class='symbol' >=</span> fermeture de la valvule aortique; VG <span class='symbol' >=</span> ventricule gauche; OG <span class='symbol' >=</span> oreillette gauche; VD <span class='symbol' >=</span> ventricule droit; OD <span class='symbol' >=</span> oreillette droite; OM <span class='symbol' >=</span> ouverture de la valvule mitrale.</p></div>

Diagramme du cycle cardiaque, montrant les courbes de pression dans les cavités cardiaques, les bruits cardiaques, l'onde de pression jugulaire et l'ECG

<span id="v935893_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p > Normalement (courbe supérieure), une augmentation de la précharge entraîne également une augmentation des performances cardiaques. Cependant à un certain point, les performances se stabilisent, puis décroissent. Dans l'insuffisance cardiaque due à un dysfonctionnement systolique (courbe du bas), la courbe globale se déplace vers le bas, reflétant une diminution de la performance cardiaque à une précharge donnée, et à mesure que la précharge augmente, la performance cardiaque augmente moins. Sous l'effet du traitement (courbe moyenne), la performance s'améliore sans se normaliser.</p></div>

Principe de Frank-Starling

Approche de l'infarctus du myocarde

<span id="v27852802_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les segments ST sont isoélectriques. Les ondes Q pathologiques en dérivations II, III et aVF, traduisent une nécrose myocardique séquellaire.</p></div>

Infarctus du myocarde inféropostérieur (diaphragmatique) (plusieurs jours plus tard)

<span id="v27852766_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Des ondes Q et une amputation des ondes R significatives qui persistent. Les segments ST sont essentiellement isoélectriques. L'ECG ne va probablement évoluer que très lentement au cours des prochains mois.</p></div>

Infarctus du ventricule gauche (plusieurs jours plus tard)

Dérivations ventriculaires droites (VR) VR1 à VR6

<span id="v931665_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Onde P <span class='symbol' >=</span> activation (dépolarisation) des oreillettes. Espace PR <span class='symbol' >=</span> intervalle entre le début de la dépolarisation de l'oreillette et celle du ventricule. Complexe QRS <span class='symbol' >=</span> dépolarisation des ventricules, composée des ondes Q, R et S. Intervalle QT <span class='symbol' >=</span> intervalle entre le début de la dépolarisation ventriculaire et la fin de la repolarisation ventriculaire. Intervalle R-R <span class='symbol' >=</span> temps entre 2 complexes QRS. Onde T <span class='symbol' >=</span> repolarisation ventriculaire. Segment ST plus onde T (ST-T) <span class='symbol' >=</span> repolarisation ventriculaire. Onde U <span class='symbol' >=</span> probablement post-dépolarisation (relaxation) des ventricules.</p></div>

Ondes d'électrocardiographie (ECG)

Os du pied

Déformation en boutonnière et col-de-cygne

Os de la cheville et du pied

<span id="v55565468_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Les voies classiques, alternatives et celle qui dépend des lectines convergent vers une voie commune finale lorsque la convertase C3 (C3 con) clive C3 en C3a et C3b. Ac <span class='symbol' >=</span> anticorps; Ag <span class='symbol' >=</span> antigène; C1-INH <span class='symbol' >=</span><span class="genericDrug" data-showrollover="false">inhibiteur de C1</span>; MAC <span class='symbol' >=</span> complexe d'attaque de la membrane (membrane attack complex); MASP <span class='symbol' >=</span> MBL-associated serine protease; MBL <span class='symbol' >=</span> mannose-binding lectines. Le surlignage indique l'activation.</p></div>

Voies d'activation du complément

Tiques du cerf

<span id="v56214479_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >La main/hauteur de la canne doit être au niveau du grand trochanter homolatéral, ce qui entraîne environ 20 à 30<span class='symbol' >°</span> de flexion du coude. La canne doit être tenue par la main en regard de la hanche atteinte. La canne peut être tenue de chaque côté pour une douleur du genou, en fonction de la sécurité et des préférences du patient.</p></div>

Hauteur correcte de la cane

<span id="v56115396_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Des lignes illustratives ont été dessinées en fonction des données des tests d'infection urinaire dans le tableau <a href="" data-toggle="tooltip" data-id="" data-itemid="00000000-0000-0000-0000-000000000000">Répartition des résultats d'un test d'estérase leucocytaire hypothétique dans une cohorte de 1000 femmes présentant une prévalence présumée d'infection des voies urinaires de 30%</a><span class="d-none xref"> <span class="tooltip-container"> <a href=""> <span class="tooltip-content"> <span class="tooltip-heading"> </span> <span class="tooltip-readmore"> </span> </span> </a> </span> </span>. La ligne A représente un test positif, tracée d'une probabilité pré-test de 0,3 à un RV<span class='symbol' >+</span> de 4,73 à une valeur post-test légèrement <span class='symbol' ><</span> 0,7, similaire à la probabilité calculée de 0,67. La ligne B représente un résultat négatif, tracée d'une probabilité pré-test de 0,3 à un RV<span class='symbol' >-</span> de 0,34 à une valeur post-test légèrement <span class='symbol' >></span> 0,1, similaire à la probabilité calculée de 13%.</p></div><span id="v56115397_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >RV<span class='symbol' >+</span><span class='symbol' >=</span> rapport de vraisemblance pour un résultat positif; RV<span class='symbol' >-</span><span class='symbol' > =</span> RV pour un résultat négatif.</p></div><span id="v56115398_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Adapted from Fagan TJ. Letter: Nomogram for Bayes theorem. <i >New England Journal of Medicine</i> 293:257, 1975.</p></div>

Nomogramme de Fagan

<span id="v56115473_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Dans cet exemple, le patient est supposé avoir un seuil de traitement de 25% pour l'infarctus du myocarde aigu. Lorsque la probabilité d'infarctus du myocarde dépasse 25%, un traitement thrombolytique est administré. On peut utiliser le nomogramme de Fagan pour déterminer quand l'échocardiogramme rapide doit être effectué avant d'administrer un traitement thrombolytique. Si on suppose que l'échocardiographie a une sensibilité théorique de 60% et une spécificité de 70% pour un nouvel infarctus du myocarde, ces pourcentages correspondent à un rapport de vraisemblance (RV) d'un résultat positif du test (RV<span class='symbol' >+</span>) de 60/(100 <span class='symbol' >−</span> 70) <span class='symbol' >=</span> 2. Une ligne reliant un seuil thérapeutique de 25% sur la ligne de probabilité post-test avec un RV<span class='symbol' >+</span> (2,0) sur la ligne RV moyenne coupe une probabilité pré-test d'environ 0,14. Un résultat positif chez un patient qui présente une probabilité pré-test <span class='symbol' ><</span> 14% aboutit toujours à une probabilité post-test inférieure au seuil thérapeutique.</p></div><span id="v56115474_fr" class="anchor" ></span><div class="para" > <p >Adapted from Fagan TJ. Letter: Nomogram for Bayes theorem. <i >New England Journal of Medicine</i> 293:257, 1975.</p></div>